Il a suffit d'une seule parole, d'une seule signature administrative pour renvoyer des centaines d'étudiants et des dizaines d'employés. Ceci n'était que la suite logique de nombreuses expulsions non justifiées et de licenciements douteux. L'administration laissait alors son siège vide, et le Pensionnat Sokumi allait devenir un bâtiment à l'abandon comme beaucoup d'autres.

Cependant il a suffit de volonté, de longs mois de bataille juridiques et d'un chèque conséquent pour inverser la donne. Hinoiri Asuru, héritier de l'empire immobilier de son père et Professeur de Lettres au pensionnat, obtint gain de cause ainsi que le titre de propriété de l'établissement, avec un nouveau permis d'habilitation délivré par les autorités compétentes. Cependant il ne pouvait pas assurer seul la pérennité de l'établissement. La suite